Il est un point, je pense, sur lequel tout le monde arrive à s’accorder: la constatation que dans nos sociétés, les choses vont globalement mal.Misère, isolement, violences, atteintes écologiques multiples, guerres, santé générale qui se dégrade vitesse grand V, menaces d’accidents nucléaires, épuisement des ressources naturelles, et tant d’autres.
Notre quête du bonheur basée sur un modèle à croissance infinie dans un monde fini arrive à sa fin.
Les limites du Darwinisme
La théorie de l’évolution de Darwin, qui à la base n’était, comme son nom l’indique, qu’une théorie, fait encore office de nos jours de véritable bible que peu remettent en question sans s’attirer les foudres des âmes bien pensantes environnantes.
Emettre des doutes sur cette théorie, c’est un peu comme si on avouait appartenir à quelque secte de mauvaise réputation.
Désirs, plaisirs et déplaisirs
Petite réflexion sur le vif concernant le désir… Parmi les nombreux concepts véhiculés en spiritualité, il en est un qui fait souvent débat, à ce que j’ai pu voir. C’est l’importance de ne plus être dans le désir.
Continuum de conscience
« Celui qui n’est pas mathématicien est saisi d’un mystérieux frisson lorsqu’il entend parler de choses relevant de la quatrième dimension, d’un sentiment comparable à celui que suscite l’occulte. Et pourtant, il n’y a pas de déclaration plus banale que celle selon laquelle le monde où nous vivons est un continuum quadridimensionnel. » – Albert Einstein
La danse du vent
« je ne prétends pas être l’auteur de ces lignes, juste leur interprète. »
Il est 3h du matin, et j’ai cette phrase en tête, qui me réveille.
Je sors mon ordinateur et commence à écrire.
La limitation de nos sens physiques
« Je ne crois que ce que je vois »
Dès qu’il s’agit d’aborder des thématiques liées à des forces invisibles, des énergies, avec des personnes très cartésiennes, cette phrase ressort souvent. Les discussions tournent souvent court, avec d’un côté des personnes qui fonctionnent aux ressentis, à l’intuition, vivant des choses parfois intenses mais restant totalement incapables de prouver ce qu’elles ont vécu, et d’un autre côté des personnes qui se disent être dans un processus « scientifique », donc forcément fiable! (…) et exigent des preuves avant ne serait-ce que d’envisager étudier ces faits.